Christophe Casty-Rigal - Haritza fleurs à Bordeaux,
contribue à la recherche sur une maladie neuro-dégénérative : la sclérose en plaques

Comment avez-vous décidé de prendre une tirelire de collecte de la Fondation ARSEP ?
Je connaissais un peu la sclérose en plaques mais le fait de rencontrer Delphine (bénévole de la Fondation ARSEP) a été un déclencheur. J’ai eu envie d’aider, de faire bouger les choses. Et en tant que Président de l’association des commerçants de Caudéran, j’ai aussi sollicité tous les adhérents pour que les tirelires se multiplient dans le quartier !
Et depuis, on continue. Car ça ne sert à rien de faire les choses une seule fois.

Que pensez-vous du choix du mois de mai et de la fête des mères ?
La fête des mères, c’est la bonne période pour soutenir cette cause : l’état d’esprit général est plus au sentiment et il y a bien plus de personnes qui achètent des fleurs et donc plus de dons !

Qu’ont pensé vos clients de cette collecte en soutien à la recherche sur la SEP ?
Beaucoup d’entre eux connaissaient la maladie, nous avons eu de bons retours. Et puisque nous étions impliqués, ils avaient envie également de s’impliquer. C’est communicatif ! Les dons ont été importants, c’est la première fois que je vois un tel impact.

 

 

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Est-ce que cette collecte ne vous a pas pris trop de temps ?
Non, au contraire. On profite de ce que les clients font la queue pour discuter. Il faut dire que les flyers posés à la caisse, ça aide : les clients s’interrogent, ils discutent entre eux aussi. Finalement, ça nous rapproche !

Que diriez-vous à un fleuriste qui hésite à faire cette campagne ? 
Que ça ne l’oblige en rien dans son magasin si ce n’est d’en parler et de remplir une tirelire le plus vite possible ! Je ne vois pas pourquoi on dirait non. D’ailleurs, ce serait bien que ce soit systématique : j’aimerais que tous les fleuristes de France aient une tirelire ARSEP à la fête des mères !
Et puis, avec cette action, la presse locale, les clients parlent de nous et ça reste dans la tête des gens. L’ambiance générale est à l’égocentrisme alors c’est bien de regarder autour de soi.

Un conseil à donner ?
Faire un don soi-même ! La première somme qui entre dans la tirelire, c’est le fleuriste qui la met. Ça lance l’opération !